jeudi

Coco pops

>here again avec l'impossibilite de dire tout ce que je voudrais dire, putain, je ne sais pas que est-ce que je vais faire, que faires-je si, ahora solo puedo(s) escuchar a Radiohead, no sé, its hard, the y love me like i was a brother, gave me sunshine made me happy..................NICE DREAM............ y es tiempo de hacer las cosas de de de de de de W:A:S:T:E quiza cambiarlo o tergiversarlo para que no quede duda alguna, no importa todo se convertira algun día y eso me preocupa, quizá hayan veces en las cuales solamente se desvanecen todos como una estela fugaz imperceptible y fatua, en la cual todo se concentra para unificarse y decidir cual será el rumbo ilgico de todo esto, I will see yo in the next life i think i'm crazy now shit shit

Espero que quizá todo algun dia no sea causa del aspecto falaz que implica despertar sin un rumbo inmerso en la monoteneidad cansada e intransigente, espero no hacerlo jamas , diablos y porque es eso que ocurre y cambia y que pasa y despierta, now i think' im acra zy not lazy espewro no hacerlo y cambiar el rumbo natural de las cosas en aquella luz distante que implica observarlo todo desde arriba with my red wine and sleeping pills j'espere que tout s'amelliorera j'espere que tu puisses regarder les etoiles avec moi quelque jopur remember togheter remember forever souvients toi la ce jour la toi et mopi
teh world just for you for nobody else

dimanche

The good Angel............

El trabajo del duelo, es por el contrario, el ejercicio de una respuesta, de una responsabilidad ante las reminicencias y el dolor, la necesidad de su sofocacion. Mitigar el dolor, arrancarlo de la memoria del otro para hacerlo surgir en la mímesis de la vida: Derrida cita éste fragmento; de frases contenidas, frases de Barthes:

El tiempo elimina la emoción de la pérdida (ya no lloro) eso es todo. Todo lo demás es inmóvil, porque lo que he perdido no es una figura, sino un ser; y no un ser, una cualidad (un alma): no indispensable, sino irremplazable, la vida que me quedaba sería seguramente hasta el final

R.I.P

Le Bateau Ivre

Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.

Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.

La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !

Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.

Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;

Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !

Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !

J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !

J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !

J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !

J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !

J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et des lointains vers les gouffres cataractant !

Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !

J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.

Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...

Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !

Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;

Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;

Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;

Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !

J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !

Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.

Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.


Arthur Rimbaud

vendredi

heute......... hay algo que pueda decir acerca de este día....tanto ha oocurrido en tan poco tiempo y lo unico que creo es aquel desvariop insaluble inkjyejkt heier i'm happy dammn it hell i'm happy, quiza esa partre del recuerdo aún compleja y no vacia ha sido parte aun de ayer, cuando estuve cerca tanm ¿¿'¿'¿ cerca que casi viajaba deep in your heart ...... pinkless..... rosa y de muchos colores.....asi que vuelves a encontrarte con la parte dulce y semi.transparente-----
asi que vuelves a ser aquello que nunca fuiste y en lo que te estas convirtiendo.....

remembering
you standing quiet in the rain
as i ran to your heart to be near
and we kissed as the sky fell in
holding you close
how i always held close in your fear
remembering
you running soft through the night
you were bigger and brighter and whiter than snow
and screamed at the make-believe
screamed at the sky
and you finally found all your courage
to let it all go

que nos sigue persiguiendo mientras, es distante y complejo i feel so deep in my heart y a la vez compleja... realidad que quizá no pueda terminar o que quizá se esfume tan rápidamente que ya no sea posible distinguirla o...... diablos quiza me equivoque y siempre ha sido así y nunca nada ha cambiado......o quizá sigo equivocado y no hay nada más que decir

PIctures of YOU

i've been looking so long at these pictures of you
that i almost believe that they're real
i've been living so long with my pictures of you
that i almost believe that the pictures are
all i can feel

remembering
you standing quiet in the rain
as i ran to your heart to be near
and we kissed as the sky fell in
holding you close
how i always held close in your fear
remembering
you running soft through the night
you were bigger and brighter and whiter than snow
and screamed at the make-believe
screamed at the sky
and you finally found all your courage
to let it all go

remembering
you fallen into my arms
crying for the death of your heart
you were stone white
so delicate
lost in the cold
you were always so lost in the dark
remembering
you how you used to be
slow drowned
you were angels
so much more than everything
hold for the last time then slip away quietly
open my eyes
but i never see anything

if only i'd thought of the right words
i could have held on to your heart
if only i'd thought of the right words
i wouldn't be breaking apart
all my pictures of you

looking so long at these pictures of you
but i never hold on to your heart
looking so long for the words to be true
but always just breaking apart
my pictures of you

there was nothing in the world
that i ever wanted more
than to feel you deep in my heart
there was nothing in the world
that i ever wanted more
than to never feel the breaking apart
all my pictures of you