>here again avec l'impossibilite de dire tout ce que je voudrais dire, putain, je ne sais pas que est-ce que je vais faire, que faires-je si, ahora solo puedo(s) escuchar a Radiohead, no sé, its hard, the y love me like i was a brother, gave me sunshine made me happy..................NICE DREAM............ y es tiempo de hacer las cosas de de de de de de W:A:S:T:E quiza cambiarlo o tergiversarlo para que no quede duda alguna, no importa todo se convertira algun día y eso me preocupa, quizá hayan veces en las cuales solamente se desvanecen todos como una estela fugaz imperceptible y fatua, en la cual todo se concentra para unificarse y decidir cual será el rumbo ilgico de todo esto, I will see yo in the next life i think i'm crazy now shit shit
Espero que quizá todo algun dia no sea causa del aspecto falaz que implica despertar sin un rumbo inmerso en la monoteneidad cansada e intransigente, espero no hacerlo jamas , diablos y porque es eso que ocurre y cambia y que pasa y despierta, now i think' im acra zy not lazy espewro no hacerlo y cambiar el rumbo natural de las cosas en aquella luz distante que implica observarlo todo desde arriba with my red wine and sleeping pills j'espere que tout s'amelliorera j'espere que tu puisses regarder les etoiles avec moi quelque jopur remember togheter remember forever souvients toi la ce jour la toi et mopi
teh world just for you for nobody else
dimanche
The good Angel............
El trabajo del duelo, es por el contrario, el ejercicio de una respuesta, de una responsabilidad ante las reminicencias y el dolor, la necesidad de su sofocacion. Mitigar el dolor, arrancarlo de la memoria del otro para hacerlo surgir en la mímesis de la vida: Derrida cita éste fragmento; de frases contenidas, frases de Barthes:
El tiempo elimina la emoción de la pérdida (ya no lloro) eso es todo. Todo lo demás es inmóvil, porque lo que he perdido no es una figura, sino un ser; y no un ser, una cualidad (un alma): no indispensable, sino irremplazable, la vida que me quedaba sería seguramente hasta el final
R.I.P
Le Bateau Ivre
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et des lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Arthur Rimbaud
El trabajo del duelo, es por el contrario, el ejercicio de una respuesta, de una responsabilidad ante las reminicencias y el dolor, la necesidad de su sofocacion. Mitigar el dolor, arrancarlo de la memoria del otro para hacerlo surgir en la mímesis de la vida: Derrida cita éste fragmento; de frases contenidas, frases de Barthes:
El tiempo elimina la emoción de la pérdida (ya no lloro) eso es todo. Todo lo demás es inmóvil, porque lo que he perdido no es una figura, sino un ser; y no un ser, una cualidad (un alma): no indispensable, sino irremplazable, la vida que me quedaba sería seguramente hasta el final
R.I.P
Le Bateau Ivre
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et des lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Arthur Rimbaud
vendredi
heute......... hay algo que pueda decir acerca de este día....tanto ha oocurrido en tan poco tiempo y lo unico que creo es aquel desvariop insaluble inkjyejkt heier i'm happy dammn it hell i'm happy, quiza esa partre del recuerdo aún compleja y no vacia ha sido parte aun de ayer, cuando estuve cerca tanm ¿¿'¿'¿ cerca que casi viajaba deep in your heart ...... pinkless..... rosa y de muchos colores.....asi que vuelves a encontrarte con la parte dulce y semi.transparente-----
asi que vuelves a ser aquello que nunca fuiste y en lo que te estas convirtiendo.....
remembering
you standing quiet in the rain
as i ran to your heart to be near
and we kissed as the sky fell in
holding you close
how i always held close in your fear
remembering
you running soft through the night
you were bigger and brighter and whiter than snow
and screamed at the make-believe
screamed at the sky
and you finally found all your courage
to let it all go
que nos sigue persiguiendo mientras, es distante y complejo i feel so deep in my heart y a la vez compleja... realidad que quizá no pueda terminar o que quizá se esfume tan rápidamente que ya no sea posible distinguirla o...... diablos quiza me equivoque y siempre ha sido así y nunca nada ha cambiado......o quizá sigo equivocado y no hay nada más que decir
PIctures of YOU
i've been looking so long at these pictures of you
that i almost believe that they're real
i've been living so long with my pictures of you
that i almost believe that the pictures are
all i can feel
remembering
you standing quiet in the rain
as i ran to your heart to be near
and we kissed as the sky fell in
holding you close
how i always held close in your fear
remembering
you running soft through the night
you were bigger and brighter and whiter than snow
and screamed at the make-believe
screamed at the sky
and you finally found all your courage
to let it all go
remembering
you fallen into my arms
crying for the death of your heart
you were stone white
so delicate
lost in the cold
you were always so lost in the dark
remembering
you how you used to be
slow drowned
you were angels
so much more than everything
hold for the last time then slip away quietly
open my eyes
but i never see anything
if only i'd thought of the right words
i could have held on to your heart
if only i'd thought of the right words
i wouldn't be breaking apart
all my pictures of you
looking so long at these pictures of you
but i never hold on to your heart
looking so long for the words to be true
but always just breaking apart
my pictures of you
there was nothing in the world
that i ever wanted more
than to feel you deep in my heart
there was nothing in the world
that i ever wanted more
than to never feel the breaking apart
all my pictures of you
asi que vuelves a ser aquello que nunca fuiste y en lo que te estas convirtiendo.....
remembering
you standing quiet in the rain
as i ran to your heart to be near
and we kissed as the sky fell in
holding you close
how i always held close in your fear
remembering
you running soft through the night
you were bigger and brighter and whiter than snow
and screamed at the make-believe
screamed at the sky
and you finally found all your courage
to let it all go
que nos sigue persiguiendo mientras, es distante y complejo i feel so deep in my heart y a la vez compleja... realidad que quizá no pueda terminar o que quizá se esfume tan rápidamente que ya no sea posible distinguirla o...... diablos quiza me equivoque y siempre ha sido así y nunca nada ha cambiado......o quizá sigo equivocado y no hay nada más que decir
PIctures of YOU
i've been looking so long at these pictures of you
that i almost believe that they're real
i've been living so long with my pictures of you
that i almost believe that the pictures are
all i can feel
remembering
you standing quiet in the rain
as i ran to your heart to be near
and we kissed as the sky fell in
holding you close
how i always held close in your fear
remembering
you running soft through the night
you were bigger and brighter and whiter than snow
and screamed at the make-believe
screamed at the sky
and you finally found all your courage
to let it all go
remembering
you fallen into my arms
crying for the death of your heart
you were stone white
so delicate
lost in the cold
you were always so lost in the dark
remembering
you how you used to be
slow drowned
you were angels
so much more than everything
hold for the last time then slip away quietly
open my eyes
but i never see anything
if only i'd thought of the right words
i could have held on to your heart
if only i'd thought of the right words
i wouldn't be breaking apart
all my pictures of you
looking so long at these pictures of you
but i never hold on to your heart
looking so long for the words to be true
but always just breaking apart
my pictures of you
there was nothing in the world
that i ever wanted more
than to feel you deep in my heart
there was nothing in the world
that i ever wanted more
than to never feel the breaking apart
all my pictures of you
samedi
Bulletproof... I Wish I Was
Aujourdhui simlemente es necesario sentirse de la forma un tanto invencible y necesitada de estar a prueba de......a prueba de....huh de tantas cosas que son predecibles y no....es dificil permanecer sin tener la certeza de que pueda ocurrir ------ y quiza todo esto solo sea un desvario...quizá no tengo ni la menor idea de lo que digo y esto solo forma un conjunto de palabras que se interpretan de muchoas modos, pero; quizá también esto puede ser la parte diversificada que integra los diseños de la parte que quiere ser bulletproof ....... y despues de toda la latanía compleja y ambigüa sólo me queda mencionarlo ham wax me mould me Bulletproof... I Wish I Was...... je ne sais pas franchement, j'essai de comprendre mais j'arrive pas je voudrais parfois.....alors..alors.....je ne suis que.......une poupe de cire... xxoxoxoxoxoxoxoxoxoxooxoxoxoxoxoxoxoxoxooxoxoxoxoxoxoxooxoxooxoxoxoxo Bulletproof... I Wish I Was
Limb by limb, tooth by tooth
Tearing up inside of me
Every day, every hour
I wish that I was bullet proof
Wax me, mould me
Heat the pins and stab them in
You have turned me into this
Just wish that it was bullet proof,
was bullet proof
So pay the money and take a shot
Lead-fill the hole in me
I could burst a million bubbles
All surrogate and bullet proof
And bullet proof
And bullet proof
And bullet proof
SONG INFORMATION
Released: March 1995
Found on: The Bends. Live and acoustic version found on Fake Plastic Trees CD2.
One of the songs that prompted reviewers to believe that Thom had some serious personal problems, "Bullet Proof" actually has a more universal meaning, which invites the listener's personal interpretations. This is truly one of the best songs in the band's roster, and one of Thom's own favorites. The instrumentation was created by Jonny and Ed; they recorded their guitar noises without listening to other layers of the cut. These guitar sound tracks were then put together and mixed with the rest of the song.
Aujourdhui simlemente es necesario sentirse de la forma un tanto invencible y necesitada de estar a prueba de......a prueba de....huh de tantas cosas que son predecibles y no....es dificil permanecer sin tener la certeza de que pueda ocurrir ------ y quiza todo esto solo sea un desvario...quizá no tengo ni la menor idea de lo que digo y esto solo forma un conjunto de palabras que se interpretan de muchoas modos, pero; quizá también esto puede ser la parte diversificada que integra los diseños de la parte que quiere ser bulletproof ....... y despues de toda la latanía compleja y ambigüa sólo me queda mencionarlo ham wax me mould me Bulletproof... I Wish I Was...... je ne sais pas franchement, j'essai de comprendre mais j'arrive pas je voudrais parfois.....alors..alors.....je ne suis que.......une poupe de cire... xxoxoxoxoxoxoxoxoxoxooxoxoxoxoxoxoxoxoxooxoxoxoxoxoxoxooxoxooxoxoxoxo Bulletproof... I Wish I Was
Limb by limb, tooth by tooth
Tearing up inside of me
Every day, every hour
I wish that I was bullet proof
Wax me, mould me
Heat the pins and stab them in
You have turned me into this
Just wish that it was bullet proof,
was bullet proof
So pay the money and take a shot
Lead-fill the hole in me
I could burst a million bubbles
All surrogate and bullet proof
And bullet proof
And bullet proof
And bullet proof
SONG INFORMATION
Released: March 1995
Found on: The Bends. Live and acoustic version found on Fake Plastic Trees CD2.
One of the songs that prompted reviewers to believe that Thom had some serious personal problems, "Bullet Proof" actually has a more universal meaning, which invites the listener's personal interpretations. This is truly one of the best songs in the band's roster, and one of Thom's own favorites. The instrumentation was created by Jonny and Ed; they recorded their guitar noises without listening to other layers of the cut. These guitar sound tracks were then put together and mixed with the rest of the song.
jeudi
Hell....
Ya es hora de permanecer estable, sin la vaga esperanza de dirigirse aún... you cannever ever leave without leaving a piece of youth.... hay tantas vagas ideas recorriendo mi cabeza que es dificil distinguir cual puede ser la que va a dirigirse sola ante la compleja estancia de allá afuerea que aún cuando todo sigue siendo una parte del diverso (sí ocmo dice Borges) es implacable y dificil poder seguir manteniendose cool..... tonigh tonight
Time is never time at all
You can never ever leave without leaving a piece of youth
And our lives are forever changed
We will never be the same
The more you change the less you feel
Believe, believe in me, believe
Believe that life can change
That you’re not stuck in vain
We’re not the same, we’re different tonight
Tonight, so bright
Tonight
And you know you’re never sure
But you’re sure you could be right
If you held yourself up to the light
And the embers never fade in your city by the lake
The place where you were born
Believe, believe in me, believe
Believe in the resolute urgency of now
And if you believe there’s not a chance tonight
Tonight, so bright
Tonight
We’ll crucify the insincere tonight
We’ll make things right, we’ll feel it all tonight
We’ll find a way to offer up the night tonight
The indescribable moments of your life tonight
The impossible is possible tonight
Believe in me as I believe in you, tonight
Ya es hora de permanecer estable, sin la vaga esperanza de dirigirse aún... you cannever ever leave without leaving a piece of youth.... hay tantas vagas ideas recorriendo mi cabeza que es dificil distinguir cual puede ser la que va a dirigirse sola ante la compleja estancia de allá afuerea que aún cuando todo sigue siendo una parte del diverso (sí ocmo dice Borges) es implacable y dificil poder seguir manteniendose cool..... tonigh tonight
Time is never time at all
You can never ever leave without leaving a piece of youth
And our lives are forever changed
We will never be the same
The more you change the less you feel
Believe, believe in me, believe
Believe that life can change
That you’re not stuck in vain
We’re not the same, we’re different tonight
Tonight, so bright
Tonight
And you know you’re never sure
But you’re sure you could be right
If you held yourself up to the light
And the embers never fade in your city by the lake
The place where you were born
Believe, believe in me, believe
Believe in the resolute urgency of now
And if you believe there’s not a chance tonight
Tonight, so bright
Tonight
We’ll crucify the insincere tonight
We’ll make things right, we’ll feel it all tonight
We’ll find a way to offer up the night tonight
The indescribable moments of your life tonight
The impossible is possible tonight
Believe in me as I believe in you, tonight
dimanche
DIMANCHE....así que para hoy estan preparados el top ten de rolas para escuchar en domingo y el top 5 de movies salvadoras para no pasarla tan mal, o en esos días en los cuales ...hay que hacer algo para salvarse y seguir creyendo que algo surgira y nos hara comenzar a sentir como si tomaramos la vida......
Songs:
Portishead - Sour Times
Air - Playground love
Belle & Sebastian - The State I Am in
Bright Eyes - Falling in love at this volume
David Bowie - Major Tom
Die Ärzte - Männer Sind Schwiene
Element of crime- Es regnet
Rolling Stones - Shes like a rainbow (ahhhhh nice ella es como un arcoiris esto es como para bailar girando sobre una campo de abedules, mientras eres niño y haces angelitos en el pasto verde de un dia dominical por supuesto, mientras tus padres escuchan a los rolling stones ahhhhh she's like a rainbow...colors in tne air)
Ian Brown - Thriller (michael jackson cover) (por supuesto para todos aquellos que creciron con este sujeto que en serio esta muy creepy)
Y las ganadoras de las movies son:
Virgin suicides (1999)
Director: Sofia Coppola ( si la hermana de Francis Ford Coppola)
Cast kirsten Dunst Scott Glenn y Danny DeVitto......more
Drama
The rules Of attraction (2002)
Director: Roger Avary
Cast James Van Der Beek .... Sean Bateman (si Dawson hahaha)
Shannyn Sossamon .... Lauren Hynde
Kip Pardue .... Victor Johnson
Jessica Biel .... Lara Holleran
Ian Somerhalder .... Paul Denton
Clifton Collins Jr. .... Rupert Guest
Thomas Ian Nicholas .... Mitchell Allen
Kate Bosworth .... Kelly
Weirdo
The trip (1967)
Director: Roger Corman
Cast: Peter Fonda, Susan Strasberg, Bruce Dern, Dennis Hopper, Salli Sachse, Barboura Morris, Judy Lang, Beach Dickerson, Luana Anders, Dick Miller, Michael Nader, Michael Blodgett, Angelo Rossitto
Genre: Weirdo
Hombre Mirando al sudeste
Director: Eliseo Subiela (si el mismo de el lado obscuro del corazón)
Cast: Lorenzo Quinteros, Hugo Soto, Inés Vernengo, Cristina Scaramuzza, Tomás Voth, Rubens Correa, David Edery, Jean Pierre Reguerraz, Rodolfo Rodas, Héctor Scarpino, Carolina Cartelli Noemí Frenkel dobló a Inés Vernengo, Aldo Barbero a Héctor Scarpino y Karina Louzan a Carolina Cartelli.
Fiction
Le dîner de cons (1998)
Director: Francis Veber
Cast:
Cast overview, first billed only:
Thierry Lhermitte .... Pierre Brochant
Jacques Villeret .... François Pignon
Francis Huster .... Just Leblanc
Daniel Prévost .... Cheval
Alexandra Vandernoot .... Christine Brochant
Catherine Frot .... Marlène Sasseur
Comedie
Esta ultima la recomiendo ampliamente para un domingazo......hace reir....y por momentos uno se olvida que ahhhhh qué es lo que tenía que hacer? dammnit
I have lot of whispers......
Songs:
Portishead - Sour Times
Air - Playground love
Belle & Sebastian - The State I Am in
Bright Eyes - Falling in love at this volume
David Bowie - Major Tom
Die Ärzte - Männer Sind Schwiene
Element of crime- Es regnet
Rolling Stones - Shes like a rainbow (ahhhhh nice ella es como un arcoiris esto es como para bailar girando sobre una campo de abedules, mientras eres niño y haces angelitos en el pasto verde de un dia dominical por supuesto, mientras tus padres escuchan a los rolling stones ahhhhh she's like a rainbow...colors in tne air)
Ian Brown - Thriller (michael jackson cover) (por supuesto para todos aquellos que creciron con este sujeto que en serio esta muy creepy)
Y las ganadoras de las movies son:
Virgin suicides (1999)
Director: Sofia Coppola ( si la hermana de Francis Ford Coppola)
Cast kirsten Dunst Scott Glenn y Danny DeVitto......more
Drama
The rules Of attraction (2002)
Director: Roger Avary
Cast James Van Der Beek .... Sean Bateman (si Dawson hahaha)
Shannyn Sossamon .... Lauren Hynde
Kip Pardue .... Victor Johnson
Jessica Biel .... Lara Holleran
Ian Somerhalder .... Paul Denton
Clifton Collins Jr. .... Rupert Guest
Thomas Ian Nicholas .... Mitchell Allen
Kate Bosworth .... Kelly
Weirdo
The trip (1967)
Director: Roger Corman
Cast: Peter Fonda, Susan Strasberg, Bruce Dern, Dennis Hopper, Salli Sachse, Barboura Morris, Judy Lang, Beach Dickerson, Luana Anders, Dick Miller, Michael Nader, Michael Blodgett, Angelo Rossitto
Genre: Weirdo
Hombre Mirando al sudeste
Director: Eliseo Subiela (si el mismo de el lado obscuro del corazón)
Cast: Lorenzo Quinteros, Hugo Soto, Inés Vernengo, Cristina Scaramuzza, Tomás Voth, Rubens Correa, David Edery, Jean Pierre Reguerraz, Rodolfo Rodas, Héctor Scarpino, Carolina Cartelli Noemí Frenkel dobló a Inés Vernengo, Aldo Barbero a Héctor Scarpino y Karina Louzan a Carolina Cartelli.
Fiction
Le dîner de cons (1998)
Director: Francis Veber
Cast:
Cast overview, first billed only:
Thierry Lhermitte .... Pierre Brochant
Jacques Villeret .... François Pignon
Francis Huster .... Just Leblanc
Daniel Prévost .... Cheval
Alexandra Vandernoot .... Christine Brochant
Catherine Frot .... Marlène Sasseur
Comedie
Esta ultima la recomiendo ampliamente para un domingazo......hace reir....y por momentos uno se olvida que ahhhhh qué es lo que tenía que hacer? dammnit
I have lot of whispers......
samedi
No es posible distinguir las facilidades de una cultura decadente y sombria, aún cuando se torna como un funky attack, y despues de las celebraciones "patrioticas" todo regresa a la normalidad everything in it's right place......... y todo lo que ahora se puede decir...
Can't you see what you've done to my heart,
and soul?
This is a wasteland now
Slow hands
Yeah but nobody searches
And nobody cares somehow
When the loving that you've wasted
Comes raining from a hapless cloud
Then I might stop and look upon your face
Disappear in the sweet, sweet gaze
See the living that surrounds me
Dissipate in a violet place
Can't you see what you've done to my heart,
and soul?
This is a wasteland now
We spies, we slow hands
You put the weights all around yourself
We spies, oh yeah we slow hands
You put the weights all around yourself
I submit my incentive is romance
I watch the pole dance of the stars
We rejoice because the hurting is so painless
From the distance of passing cars
But I am married to your charms and grace
I just go crazy like the good old days
You make me want to pick up a guitar
And celebrate the myriad ways that I love you
Can't you see what you've done to my heart,
and soul?
This is a wasteland now
We spies, yeah we slow hands
You put the weights all around yourself
We spies, oh yeah we slow hands
Killer, for hire you know not yourself
We spies, we slow hands
You put the weights all around yourself
We spies, oh yeah we slow hands
We retire like nobody else
We spies, intimate slow hands
Killer for hire you know not yourself
We spies, intimate slow hands
You let the face slap around herself
Chequen el °britt daniels remix de esta rola esta bastante chida
Tchus
Can't you see what you've done to my heart,
and soul?
This is a wasteland now
Slow hands
Yeah but nobody searches
And nobody cares somehow
When the loving that you've wasted
Comes raining from a hapless cloud
Then I might stop and look upon your face
Disappear in the sweet, sweet gaze
See the living that surrounds me
Dissipate in a violet place
Can't you see what you've done to my heart,
and soul?
This is a wasteland now
We spies, we slow hands
You put the weights all around yourself
We spies, oh yeah we slow hands
You put the weights all around yourself
I submit my incentive is romance
I watch the pole dance of the stars
We rejoice because the hurting is so painless
From the distance of passing cars
But I am married to your charms and grace
I just go crazy like the good old days
You make me want to pick up a guitar
And celebrate the myriad ways that I love you
Can't you see what you've done to my heart,
and soul?
This is a wasteland now
We spies, yeah we slow hands
You put the weights all around yourself
We spies, oh yeah we slow hands
Killer, for hire you know not yourself
We spies, we slow hands
You put the weights all around yourself
We spies, oh yeah we slow hands
We retire like nobody else
We spies, intimate slow hands
Killer for hire you know not yourself
We spies, intimate slow hands
You let the face slap around herself
Chequen el °britt daniels remix de esta rola esta bastante chida
Tchus
vendredi
How to disapear completely, let down, Karma police a la esencia espectral........pare estar flotando, en un sueño efímero y sin fondo, es como una contradicción, ya que parece no terminar nunca, o tener algo con lo cual querer terminar, pero no es así es como una sensación agridulce de querer despertar y la vez desear no salir del sueño, aunque esté esté vacuo e indiferente......así que hoy es ese día en el cual im not here this isn't happening.....
How to Disappear Completely
That there
That's not me
I go
Where I please
I walk through walls
I float down the Liffey
I'm not here
This isn't happening
I'm not here
I'm not here
In a little while
I'll be gone
The moment's already passed
Yeah it's gone
And I'm not here
This isn't happening
I'm not here
I'm not here
Strobe lights and blown speakers
Fireworks and hurricanes
I'm not here
This isn't happening
I'm not here
I'm not here
SONG INFORMATION
Released: October 2000
Found on: Kid A
"How to Disappear Completely" boils down "Let Down" and "Karma Police" to their spectral essence. The string-laden ballad comes closest to bridging Yorke's lyrical sentiment to the instrumental effect. "I float down the Liffey/ I'm not here/ This isn't happening," he sings in his trademark falsetto. The strings melt and weep as the album shifts into its underwater mode.
-Pitchforkmedia.com
-Nigel: (when asked if the song had gone over 10 mins): "No no no no no no. It's going good I think. haven't touched it this year. 6 minutes, I hate people who exaggerate." January 19, 2000
-Thom: (when asked about the meaning of the line "I float down the Liffey"): "I dreamt i was floating down the liffey and there was nothing i could do. i was flying around Dublin and I really was in the Dream. the whole song is my experiences of really floating" December 19, 1999
-Phil: "parts I & II are finished - the final movement is proving a little tricky though." December 3, 1999
http://www.greenplastic.com/lyrics/howtodisappear.php
How to Disappear Completely
That there
That's not me
I go
Where I please
I walk through walls
I float down the Liffey
I'm not here
This isn't happening
I'm not here
I'm not here
In a little while
I'll be gone
The moment's already passed
Yeah it's gone
And I'm not here
This isn't happening
I'm not here
I'm not here
Strobe lights and blown speakers
Fireworks and hurricanes
I'm not here
This isn't happening
I'm not here
I'm not here
SONG INFORMATION
Released: October 2000
Found on: Kid A
"How to Disappear Completely" boils down "Let Down" and "Karma Police" to their spectral essence. The string-laden ballad comes closest to bridging Yorke's lyrical sentiment to the instrumental effect. "I float down the Liffey/ I'm not here/ This isn't happening," he sings in his trademark falsetto. The strings melt and weep as the album shifts into its underwater mode.
-Pitchforkmedia.com
-Nigel: (when asked if the song had gone over 10 mins): "No no no no no no. It's going good I think. haven't touched it this year. 6 minutes, I hate people who exaggerate." January 19, 2000
-Thom: (when asked about the meaning of the line "I float down the Liffey"): "I dreamt i was floating down the liffey and there was nothing i could do. i was flying around Dublin and I really was in the Dream. the whole song is my experiences of really floating" December 19, 1999
-Phil: "parts I & II are finished - the final movement is proving a little tricky though." December 3, 1999
http://www.greenplastic.com/lyrics/howtodisappear.php
HUH.....HUH........ hoy es una mal día, no hay algo necesariamente unborckiken voices in my head, y, aunque estoy de noche escuchando a Minotaur Shock que es bastante relajante, aún así no puedo evitar dejar de presenciar el vago malestar un tanto crónico por una mala racha, ultimamente he creido que todo esto se ha comenzado a convertir en un sad film de esos en los que uno puede darse cuenta de que las ideas, como en el eterno retorno perduran de una manera inestable e intransigente, pero, aún permanecemos viendo el film, aunque sepamos que el personaje no se queda con la chica (hahahahaha)damm................................
O lo que es similar, ,que ún es necesario seguir creyendo que las respuestas permanecen el los films o en el frasco de mayonesa perdido durante años en el refrigerador, lo que quiza pueda parecer una metáfora invalida y absurda........pero es necesario.........
J'espere que tout s'amelliore......... j'en ai marre de tout cet situation je m'en fou
and i feel like taking a life
No obstante tendremos que esperar but i feellike taking a life again
so ...... de acuerdo alascircunstancias y al momento tendremos que sugerir escuchar hoy todo el día motion picture soundtrack de RADIOHEAD (que por cierto viene en el KID A que le he robado a jules) ppto............
O lo que es similar, ,que ún es necesario seguir creyendo que las respuestas permanecen el los films o en el frasco de mayonesa perdido durante años en el refrigerador, lo que quiza pueda parecer una metáfora invalida y absurda........pero es necesario.........
J'espere que tout s'amelliore......... j'en ai marre de tout cet situation je m'en fou
and i feel like taking a life
No obstante tendremos que esperar but i feellike taking a life again
so ...... de acuerdo alascircunstancias y al momento tendremos que sugerir escuchar hoy todo el día motion picture soundtrack de RADIOHEAD (que por cierto viene en el KID A que le he robado a jules) ppto............
mardi
Diablos, hace mucho que no entraba por acá, realmente no lo recordaba con claridad, había un vestigio vago de este lugar en mi mente pero gracias a un friend lo recordé (thanx Jules), así que here we go again, no sé quizá falte mucho por actualizar o quizá no y por esa razón no hubo actualización pero ca va n'est-ce pas! ahora indudablemente buscando empleo pero vamos a encontrar algo neun.
Top 5 de hoy:
Beck - Lost Cause
Canned Heat - On the road again (por eso del retorno)
NIN - Wish
Beatles - Two of us (about i am sam definitely maybe)
Pulp - Disco 2000
asi que nos vemremos por aca again................
Top 5 de hoy:
Beck - Lost Cause
Canned Heat - On the road again (por eso del retorno)
NIN - Wish
Beatles - Two of us (about i am sam definitely maybe)
Pulp - Disco 2000
asi que nos vemremos por aca again................
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